samedi 3 mars 2007

DEFense CONdition


J'aime les auteurs de livres noirs, leur style - la liberté de ton que souvent nous oublions nous tous de pratiquer. Jean-Huges Oppel nous explique dans son dernier livre les différents niveaux d'alerte américains intitulé DEFCOM - je cite.

"DEFCOM 5, c'est la paix, tout va bien, il fait beau, mais ce n'est pas une raison pour que les boys se tournent les pouces..." Etc.

"DEFCOM 4, si tout ne va pas encore mal, il fait moins beau, il y aurait comme de la menace ennemie dans l'air (...) les services de renseignements sont fermement priés de se renseigner sur ce qui passe, plus vite que ça de préférence (...)"

"DEFCOM 3, le temps se couvre et les chosesq sérieuses commencent, on ne rigole plus (...)"

"DEFCOM 2, le Président est tiré de son lit sans ménagement et fourré dans un Boeing 747 transformé en Poste de Commandement Volant (...) les pilotes de chasseurs et de bombardiers font chauffer leurs moteurs en serrant les fesses (...)."

"DEFCOM 1, c'est la merde."

4 commentaires:

Bertrand Ploquin a dit…

Ah ah ! Je suis d'accord, un bon vieux "c'est la merde" sera toujours éloquent.

laurie thin** a dit…

c'est drôle que ce soit dégressif

Michel a dit…

En fait, c'est régréssif (sic)

laurie thin** a dit…

mince, je me suis mélangée les pinceaux et passe encore pour une idiote