Répartition des rôles
Au sein de notre association informelle, nous nous sommes fort logiquement répartit les rôles.
A lui, les relations avec l’extérieur, le contact, et les négociations éventuelles ; à moi les aspects purement organisationnels (par inclinaison naturelle autant que par métier). A nous deux, une part égale d’idées - moi, plus dans la recherche, la lecture, les associations et les idées saugrenues ; lui, plus axé dans le développement, l’analyse systémique, l’ancrage dans le réel. De l'imaginaire et d'idéal (idylique ?) au concret et à la réalité.
A lui, les relations avec l’extérieur, le contact, et les négociations éventuelles ; à moi les aspects purement organisationnels (par inclinaison naturelle autant que par métier). A nous deux, une part égale d’idées - moi, plus dans la recherche, la lecture, les associations et les idées saugrenues ; lui, plus axé dans le développement, l’analyse systémique, l’ancrage dans le réel. De l'imaginaire et d'idéal (idylique ?) au concret et à la réalité.
Je constate jour après jour qu’il faut savoir se vendre . Et ça, sais pas faire. Mais, bon, Gérard Brach était bien agoraphobe.
C’est pour cela que j’envie mon compère, pour cette simplicité dans l’évolution des choses. Je l’imagine aux Césars, ou à Cannes, monter les marches, accueillir les récompenses avec un naturel si désarment qu’une seule réflexion vient à l’esprit : « c’est logique. »
Bref, je suis un angoissé qui finalement ‘se fout de beaucoup de choses’. Paraît que je suis compliqué. (Personnellement, je crois pas, mais comme beaucoup m'en ont fait le reproche - alors...) Et lui, c'est un gars équilibré bourré de qualités.
PS : Sinon, suis assez content, peu à peu je tisse la toile de mon traitement. Il s’ordonne lentement, avec naturel, se dégage une logique implacable, simple. Au moins, une chose qui avance. Faut savoir que j'écris par séquence de cinq / dix minutes - je dispose de rarement plus, même dans l'écriture de ce blog. Mais, je n’ai pas de contraintes de temps, de délai, ni de forme. Je regarde les obstacles – ce que je ne sais pas faire, ce que je n’arrive pas à imaginer, je les contourne. Je suis comme un analphabète qui doit tout le temps inventer mille stratagèmes pour éviter les chausse-trappes de la vie. C’est assez rigolo.
C’est pour cela que j’envie mon compère, pour cette simplicité dans l’évolution des choses. Je l’imagine aux Césars, ou à Cannes, monter les marches, accueillir les récompenses avec un naturel si désarment qu’une seule réflexion vient à l’esprit : « c’est logique. »
Bref, je suis un angoissé qui finalement ‘se fout de beaucoup de choses’. Paraît que je suis compliqué. (Personnellement, je crois pas, mais comme beaucoup m'en ont fait le reproche - alors...) Et lui, c'est un gars équilibré bourré de qualités.
PS : Sinon, suis assez content, peu à peu je tisse la toile de mon traitement. Il s’ordonne lentement, avec naturel, se dégage une logique implacable, simple. Au moins, une chose qui avance. Faut savoir que j'écris par séquence de cinq / dix minutes - je dispose de rarement plus, même dans l'écriture de ce blog. Mais, je n’ai pas de contraintes de temps, de délai, ni de forme. Je regarde les obstacles – ce que je ne sais pas faire, ce que je n’arrive pas à imaginer, je les contourne. Je suis comme un analphabète qui doit tout le temps inventer mille stratagèmes pour éviter les chausse-trappes de la vie. C’est assez rigolo.
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