Des livres, des livres, des livres...
Petite revue des livres achetés ce mois-ci...(Et encore plein d'autres que j'ai reposé, que j'avais sélectionné, pour les laisser...)
Maria avec et sans rien, de Jaon Didion (Robert Laffont / Pavillon Poche)
Les démons de Gödel, de Pierre Cassou-Noguès (Le Seuil)
Le Chant de la mission, de John Le Carré (Le Seuil)
Champs d'ombres, de Cornelia Read (Actes Sud)
Et Nietzche a pleuré, de Irvin Yalom (Galaade Editions)
L'aube le soir ou la nuit, de Yasmina Reza (Flammarion)
Redemption Falls, de Joseph O'Connor (Phébus)
Freakonomics, de Steven D. levitt et Sephen J. Dudner (Folio)
La physique des catastrophes, de Marisha Pesel (Gallimard)
New thing, de Wu Ming 1 (Métaillé)
Mazarin, le maître du jeu, de Simon Bertière (Editions de Fallois)
Miles, de Alain Gerber (Fayard)
Destinée arbitraire, de Robert Desnos (Poésie, Gallimard)
Les rois écarlates, de Tim Willocks (L'olivier)
Bad city blues, de Tim Willocks (L'olivier)
Les fusils, de William T. Vollamann (Babel)
Richelieu, de Philippe Erlanger (Tempus)
Soit donc 17 livres, dont la plupart ne seront pas lu - du moins, pas tout de suite. Je suis un lecteur lent. Mais ils me rassurent. C'est une passion, qui reprochera à un collectionneur de regarder ses petits soldats de plomb, de jouer avec ses voitures factices. A tout prendre je devrais consulter. Mais je ne me raconte même pas ma vie à moi-même, alors, à un étranger, que je devrais payer, qui plus est à la place de mon achat compulsif de bouquin, ça va pas non ?
Et puis, ils sont là. Et je me sens peut-être moins seul, qui sait ?
4 commentaires:
Je ressens la même chose avec mes livres...un lien très fort...quelque chose de l'ordre de l'affectif...souvent ils me procurent une émotion rare qui s'ancre...le simple fait de les feuilleter m'y replonge avec délices...:-)mais je me suis jamais dis qu'il fallait que je consulte !...ma liberté est là... et ailleurs !
Très bonne journée !
C'est bête, je m'imaginais déjà en Tony Soprano consultant mon docteur Melfi, expliquant que ma mère veut me tuer, que si mon père était un psychopathe, c'était aussi mon père, même s'il préférait ma soeur - mais bon, mon père n'est pas psychiquement atteint, ma mère n'a jamais essayé de me tuer, et je n'ai pas de soeur. Quoique.
Merci infiniment d'acheter mon livre. C'est un honneur à la trouvaille moi-même à la compagnie de tels bons auteurs.
(This is a Babelfish.com translation, because my French is not great. I hope it makes sense. Thank you for buying my book!)
Avouez que le net est vraiment assez extraordinaire !!! Alors, je prend vraiment le parti de ne garder le meilleur !
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