Je suis en vacances...
... bon, pas vraiment dans ce cadre idyllique... mais je déconnecte totalement, complètement, intensément... Je suis en vacances. Je reviens début septembre.
Ou pas.
Des idées en vrac... "Ce qui est important peut se trouver n'importe où... Alors je lis tout." - Jacques Bergier
... bon, pas vraiment dans ce cadre idyllique... mais je déconnecte totalement, complètement, intensément... Je suis en vacances. Je reviens début septembre.
Ou pas.
Publié par Michel le mardi, juillet 24, 2007 3 commentaires
... pas grand chose - une phrase, le déplacement dans la structure pour ouvrir d'autres perspectives, une lumière, une logique... Une recherche à faire, à approfondir, une concrétisation : bref, une idée par jour ça finira bien par donner quelque chose.
Publié par Michel le jeudi, juillet 19, 2007 8 commentaires
...faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, etc.
Lu ces deux phrases citées dans La Vie sexuelle d'Emmanuel Kant :
"Quiconque promet à l'humanité de la libéré des épreuves du sexe sera accueilli en héros" - Freud
"Ne pas pleurer, ne pas rire, mais comprendre." - Spinoza.
Toute ma vie en deux petits bouts de mots. Triste.
Publié par Michel le mercredi, juillet 18, 2007 4 commentaires
Dans le cadre des célébrations du 40e anniversaire de sa disparition, je m'en voudrais si je ne vous signalais pas la première grande biographie de John Cotrane, éditée en français, aux éditions Outre Mesure, John Coltrane : sa vie, sa musique de Lewis Porter.
Même si rien de saurait atteindre sa musique, il est émouvant, de lire sa vie, sa musique (extrait de partition), pour atteindre, du bout des doigts...
Publié par Michel le mardi, juillet 17, 2007 0 commentaires
Il est assez jouissif de constater que ses intuitions sont confirmées. Même si elles se peaufinent, changent de direction, s'étoffent : elles restent comme un point de départ, un encouragement.
J'organise mon travail - je ne rédige pas : je conceptualise, lentement. Je me force aussi à ne pas être illustratif, à ne pas créer des séquences avec l'objectif de montrer ou de démontrer. Tout doit couler, logiquement, s'inscrire dans le temps et les lieux, naturellement.
D'abord, il y a le titre - que j'ai exfiltré d'un autre concept. Ensuite, il y a des séquences - lieux, personnages, des dialogues, de la musique, une lumière.
Puis, en dessous d'une ligne jaune, des notes, des objectifs, des "pas à pas", les séquences à venir. En parallèle, il y a bien sûr les documents, les synthèses... des phrases éparses. J'y pense, je prend des notes comme autant de croquis et d'esquisses... J'en suis aux esquisses, juste aux esquisses, sans très bien comprendre le tableau, la perfection à venir.
Publié par Michel le lundi, juillet 16, 2007 1 commentaires
... et sans fond.
Mes idées se précisent, peu à peu, elles se livrent à moi - les livres que je lis : tous, maintenant ne visent qu'à (me) nourrir mon projet. Que je prenne de l'oxygène, comme à la montagne.
Je balbutie, je m'égare peut-être : peu m'importe, la route est plus importante que le but ; mais sans but à atteindre, sans rien concrétiser, elle est inutile et perd même de sa saveur. Étrange paradoxe, difficile dilemme : 'tout est vanité', mais 'rien ne vaut la vie'...
Mon programme de lecture est là - les livres me tendent les bras, impatients, comme des enfants pressés. Patience, même dans l'écriture, je me refrène. Et pourtant, il faut que je sois conscient de mes limites, et en tirer partie.
J'ai appris une chose hier, une évidence. Les lieux, 'le décor', font partis, non : ils imposent à l'histoire leur rythme propre, leur couleur, leur réalité, le mouvement des personnages, leurs actes, jusqu'à leur psychologie. Ils n'agrémenta pas : ils enrichissent.
Publié par Michel le vendredi, juillet 13, 2007 0 commentaires
Publié par Michel le mardi, juillet 10, 2007 2 commentaires
... un post de Pierre Assouline.
Le rapprochement est assez étrange, mais finalement, je suis assez d'accord.
Publié par Michel le lundi, juillet 09, 2007 0 commentaires
Publié par Michel le lundi, juillet 09, 2007 0 commentaires
... mais je lis toujours autant !
Je ne pense pas que mon idée, mon concept est révolutionnaire. Mais, je sais aussi que j'ai touché juste. Et cela suffit à mon bonheur.
Mon état d'esprit aussi change. Je voulais écrire pour être lu, avoir une existence. Aujourd'hui, c'est seulement une voie, un parcours plus qu'un but.
Ce qui est étrange dans tout cela, c'est l'équilibre à apporter : chercher dans la documentation, l'humain, la scène, l'acte, l'action. Seulement, uniquement, l'action comme révélateur des personnages. Je rêve de taiseux, de musique, de dialogues concentrés sur l'essentiel. Pas de scénes utilitaires qui transmettent l'information, mais une suite logique, implacable : un fil naturel, la nature de l'humain.
Publié par Michel le vendredi, juillet 06, 2007 2 commentaires
A lire aussi l'article du Figaro - mais, bon, c'est pas indispensable...
Publié par Michel le mercredi, juillet 04, 2007 0 commentaires