mardi 24 juillet 2007

Je suis en vacances...

... bon, pas vraiment dans ce cadre idyllique... mais je déconnecte totalement, complètement, intensément... Je suis en vacances. Je reviens début septembre.

Ou pas.

PS : aprés, Corto Maltese, Tony Soprano et Angelo Pardi, j'ai un nouvel héros dans mon panthéon personnel : Grégory House... (je n'ai découvert la série que ces jours-ci - suis devenu accro, comme lui à la codéine, plus au personnage qu'à la série en tant que telle, d'ailleurs : voilà je suis en vacances : je déconnecte, non mais !)

jeudi 19 juillet 2007

Objectif : Une idée par jour...

... pas grand chose - une phrase, le déplacement dans la structure pour ouvrir d'autres perspectives, une lumière, une logique... Une recherche à faire, à approfondir, une concrétisation : bref, une idée par jour ça finira bien par donner quelque chose.

mercredi 18 juillet 2007

Faut que je travail plus, faut que je travail plus...

...faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail,faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail plus, faut que je travail, etc.

Lu ces deux phrases citées dans La Vie sexuelle d'Emmanuel Kant :

"Quiconque promet à l'humanité de la libéré des épreuves du sexe sera accueilli en héros" - Freud

"Ne pas pleurer, ne pas rire, mais comprendre." - Spinoza.

Toute ma vie en deux petits bouts de mots. Triste.

mardi 17 juillet 2007

John Coltrane : sa vie, sa musique

Dans le cadre des célébrations du 40e anniversaire de sa disparition, je m'en voudrais si je ne vous signalais pas la première grande biographie de John Cotrane, éditée en français, aux éditions Outre Mesure, John Coltrane : sa vie, sa musique de Lewis Porter.



Même si rien de saurait atteindre sa musique, il est émouvant, de lire sa vie, sa musique (extrait de partition), pour atteindre, du bout des doigts...

lundi 16 juillet 2007

Intuition

Il est assez jouissif de constater que ses intuitions sont confirmées. Même si elles se peaufinent, changent de direction, s'étoffent : elles restent comme un point de départ, un encouragement.

J'organise mon travail - je ne rédige pas : je conceptualise, lentement. Je me force aussi à ne pas être illustratif, à ne pas créer des séquences avec l'objectif de montrer ou de démontrer. Tout doit couler, logiquement, s'inscrire dans le temps et les lieux, naturellement.

D'abord, il y a le titre - que j'ai exfiltré d'un autre concept. Ensuite, il y a des séquences - lieux, personnages, des dialogues, de la musique, une lumière.

Puis, en dessous d'une ligne jaune, des notes, des objectifs, des "pas à pas", les séquences à venir. En parallèle, il y a bien sûr les documents, les synthèses... des phrases éparses. J'y pense, je prend des notes comme autant de croquis et d'esquisses... J'en suis aux esquisses, juste aux esquisses, sans très bien comprendre le tableau, la perfection à venir.

vendredi 13 juillet 2007

Univers passionnant...

... et sans fond.

Mes idées se précisent, peu à peu, elles se livrent à moi - les livres que je lis : tous, maintenant ne visent qu'à (me) nourrir mon projet. Que je prenne de l'oxygène, comme à la montagne.

Je balbutie, je m'égare peut-être : peu m'importe, la route est plus importante que le but ; mais sans but à atteindre, sans rien concrétiser, elle est inutile et perd même de sa saveur. Étrange paradoxe, difficile dilemme : 'tout est vanité', mais 'rien ne vaut la vie'...

Mon programme de lecture est là - les livres me tendent les bras, impatients, comme des enfants pressés. Patience, même dans l'écriture, je me refrène. Et pourtant, il faut que je sois conscient de mes limites, et en tirer partie.

J'ai appris une chose hier, une évidence. Les lieux, 'le décor', font partis, non : ils imposent à l'histoire leur rythme propre, leur couleur, leur réalité, le mouvement des personnages, leurs actes, jusqu'à leur psychologie. Ils n'agrémenta pas : ils enrichissent.

mardi 10 juillet 2007

The West Wing : le détail


Hier soir, je regardais (pour la seconde fois...) la dernière saison de The West Wing - épisode 11 - La Valse des Ambassadeurs (Internal Displacement), je crois... C.J. tente alors d'intervenir dans le génocide au Darfour. Elle contacte l'ambassadeur de France.
Et là, devant mes yeux ébahis, l'acteur jouant ce rôle ressemble (tellement) à Jean-David Levitte (ci-dessus), ancien "ambassadeur de France aux États-Unis d’Amérique depuis 2002, il est l'un des acteurs du réchauffement des relations entre Jacques Chirac et George W. Bush après leur opposition sur la guerre en Irak en 2003. Le 16 mai 2007, le président de la République Nicolas Sarkozy fait de lui son sherpa et conseiller diplomatique à l'Élysée. Il prend également la direction du nouveau conseil national de sécurité, créé par le Président de la République, sur le modèle de celui existant aux Etats-Unis."
Peut-on imaginer tant de précision dans le détail ? Un exemple pour nous tous.

lundi 9 juillet 2007

Les Sopranos, par Charles Dickens...

... un post de Pierre Assouline.

Le rapprochement est assez étrange, mais finalement, je suis assez d'accord.

Sécurité Intérieure - Canal +


Fortement déçu par Mafiosa, agacé, parfois, par Reporters, j'ai abordé un peu sur la réserve Sécurité Intérieure, nouvelle série de Canal +. De plus, Marianne la présentait comme un 24 heures sous Lexomil... Jugement stupide.
Même s'il y a un problème de rythme - dû, je pense au format trop court de 52' - chaque intrigue mériterait, en fait serait plus à son aise, développée en 90. Il manque cette lenteur, presque cette langueur, qui imprègne les grands romans ou les grands films d'espionnage. Ces moments, ces silences dans les dialogues : ce format ne laisse pas le temps à la tension de s'exacerber. (A ce propos, est-ce que les producteurs ou les diffuseurs comprendront-ils un jour que les formats sont des outils, et non des carcans ?)
Mais, je ne vais pas bouder mon plaisir. Cette série m'épate. Elle est sobre sur la forme, forte sur le fond. Les acteurs sont irréprochables. La mise en scène, simple, elle s'efface derrière son sujet, qu'elle sait suffisant. Elle laisse les 'ingrédients' prendre place devant nos yeux. Pas de psychologie, pas d'effets, pas d'affects, les personnages sont implacables, dures, sans fioritures, efficaces.
Enfin. J'ai un seul mot : enfin.

vendredi 6 juillet 2007

J'écris moins...

... mais je lis toujours autant !


J'ai rassemblé plus d'une dizaine d'ouvrages différents, sur le sujet en tant que tel, et sur des sujets annexes et connexes, théoriques et pratiques, en plus des articles dénichés sur le net. Et je n'en suis qu'au début. J'essaie d'appliquer la même méthode que celle décrite par DOA. Me dispersant malgré moi, je ne lis plus que des ouvrages avec cet objectif là : mon projet.

La biographie non autorisée de Bernard Arnaud fait donc partie de l'ensemble. J'avance lentement, mais avec méthode. Sans ambitions.

Pour l'heure, je lis (ou relis) la documentation et synthètise sur de petites fiches les éléments les plus importants relevés - je dois avouer que j'ai tendance à maltraiter les livres : crayon à la main, j'écris, j'enrage, corne les pages... En parallèle, je note également toutes les idées qui me viennent - scènes, personnages, structure, lieux, etc. ; mais aussi, les recherches à faire, les livres à lire, les détails à rechercher... J'ai déjà limité le choix de mes sujets à 3 axes spécifiques. Ensuite, je définirais les personnages - nom, personnalité, biographie, ascendances, les connexions... Puis viendra le traitement. Et enfin, la rédaction.
Avant, je cherchais absolument à résoudre toutes les questions en même temps. Devant l'ampleur de la tâche, son impossibilité physique et psychique, j'abandonnais. Aujourd'hui, je me concentre sur l'instant, ma lecture, l'idée du moment. Les questions restent en suspens ; mais, je me dis qu'elles trouverons leurs réponses, le moment venu. Je ne veux pas les éluder - seulement, les prendre en compte avec suffisament d'éléments en moi pour être sur de mes choix. Pour rester concentrer, aussi. Par exemple, je ne sais pas encore la forme que l'histoire prendra : roman, scénario - je n'arrive pas à faire de choix. Mais je n'en suis pas là.

Je ne pense pas que mon idée, mon concept est révolutionnaire. Mais, je sais aussi que j'ai touché juste. Et cela suffit à mon bonheur.

Mon état d'esprit aussi change. Je voulais écrire pour être lu, avoir une existence. Aujourd'hui, c'est seulement une voie, un parcours plus qu'un but.

Ce qui est étrange dans tout cela, c'est l'équilibre à apporter : chercher dans la documentation, l'humain, la scène, l'acte, l'action. Seulement, uniquement, l'action comme révélateur des personnages. Je rêve de taiseux, de musique, de dialogues concentrés sur l'essentiel. Pas de scénes utilitaires qui transmettent l'information, mais une suite logique, implacable : un fil naturel, la nature de l'humain.

mercredi 4 juillet 2007

Film lovers will love this!



A lire aussi l'article du Figaro - mais, bon, c'est pas indispensable...