Littell, barrières et limites
Je viens de lire le post suivant de Pierre Assouline, Littell, barrières et limites
Si je n'ai pas lu Les Bienveillants - comment vous dire : cela fait partie des livres que j'ai renoncé à lire, par lâcheté en quelque sorte, sans doute... je trouve la parole de Jonathan Littell passionnante : sur le fond, et sur la forme...
4 commentaires:
Je ne l'ai pas encore lu (j'ai un Boyd à commencer et un Naboukov ... mais je dois avouer que je pars avec un très mauvais sentiment à l'égard de ce gros pavé que tout le monde a encensé... Et puis ensuite, des voix ont commencé à s'élever et à dire que c'était moins bien que ça.
Rajoutons à ça que pas la moitié des gens qui l'ont acheté l'ont finit ^^
Ce sont les symptômes d'un livre prétentieux et bien moins réussi qu'il n'est censé l'être ;)
Ou trés livre trés dense (trop ?) sur le fond et la forme. Quand aux voix qui s'élèvent, aprés un succés, il y a en toujours. Souvent les mêmes l'auraient encensés si Les Bienveillants étaient restés confidentiels.
Tiens marrant... moi jl'avais acheté en me disant que je reussirais jamais à le finir. Mais en entendant plusieurs personnes à la radio dire que les dernières pages étaient extraordinaires ca m'a donné le courage de le lire jusqu'au bout (il faut préciser que vers les pages 600 ou 700 je me souviens plus il y a une grosse baisse de régime, le rythme devient lent et on est témoin d'un trip solitaire du perso principal). Donc pour ceux qui l'ont commencé, accrochez vous ca vaut vraiment le détour !
Bravo ! Je suis impressionné par ceux qui le lisent d'un bout à l'autre. C'est comme gravir l'Everest ! (et c'est sincére !)
Enregistrer un commentaire